CAPE EPIC, l'aventure du team Tac-Tic du 17 au 24 mars

Un grand bravo pour avoir réussi cet exploit...
Après avoir pédalé la tête en bas vous pouvez rentrer la tête haute.
Merci a Laurent pour les résumés des étapes sur le forum!!!!

Speedy champion, matteo champion!
Top les gars!
@speedy, n oublies pas de ramener marie...
@matteo, le soleil si possible...

Magnifique.................. que dire d'autre ?
rentrez vite pour qu'on ait tous les détails.

En attendant le retour de Tic et Tac, voici le reportage complet de ce Cape Epic 2013
Plus de 3h30 de vidéos pour en prendre plein les mirettes

Je n'ai pas encore eu l'occasion de regarder les vidéos postées par Laurent, mais en attendant, voici une autre vidéo plein d'émotion, avec une très belle image à 2:54 de notre TAC national!

Le bonheur à travers la souffrance !!!!!!

Vidéo officielle de l'arrivée de la dernière étape.
Team Tac-Tic à 25min 33 sec.....

La joie immense à l'arrivée Frissons garantis
Encore un grand bravo à un sacré duo

Petit clin d'oeil à nos familles à l'arrivée....encore merci

Avis à tous, la soirée Cape Epic 2013 est annoncée

L'article complet à découvrir dans l'Avenir de Luxembourg :

L'Avenir du Luxembourg a écrit:

Une aventure humaine et sportive

Quatre bikers luxembourgeois ont participé au Cape Epic, en Afrique du Sud. La plus dure épreuve du monde dans le genre.
«Tant qu’à faire, si on doit en choisir une un jour, autant prendre la plus belle du monde.» C’est en ces termes que Thierry Franck nous expliquait le choix de s’élancer dans l’incroyable aventure du Cape Epic, en Afrique du Sud. Depuis maintenant dix ans, les pros et les purs amateurs, par équipes de deux, y croisent le fer sur huit jours de course avec 700 km à parcourir au total. Le tout avec un dénivelé de… 16 000 m. Rien que ça.

Notre province était représentée par deux paires. D’un côté, l’équipe «Tic et Tac», le binôme le plus expérimenté, composé de Mattéo Ponchione (Grandcourt) et Stéphane Maîtrejean (Mellier). Ce dernier avait déjà participé au Crocodile Trophy en Australie. Pour Thierry Franck et Richard Guebenne, repris sous l’appellation Team de Lux, il s’agissait d’une grande première sur ce type de distances. Malheureusement, les conditions climatiques extrêmes auront raison de Thierry Franck. «Je savais qu’il fallait absolument que je m’hydrate régulièrement, mais malgré ça, à cause de la chaleur, je me suis retrouvé dans un état d’épuisement et de déshydratation qui m’a forcé à l’abandon après une soixantaine de kilomètres dans la troisième étape», précise-t-il

La suite en individuelle
Heureusement, dans une telle situation, le règlement prévoit des solutions de secours pour les deux bikers. «J’ai pu continuer la course mais dans la catégorie individuelle, explique Richard Guebenne. De son côté, Thierry a pu continuer la course aussi, mais dans des conditions plus faciles vu son état. Ce qui nous a tout même permis d’aller au bout de ce Cap Epic.» Et les deux hommes d’évoquer déjà un prochain retour en Afrique du Sud pour cette fois, le terminer à deux.
Pour «Tic et Tac», l’équipe composée de Mattéo Ponchione et Stéphane Maîtrejean, le premier objectif a également été de dompter cette chaleur. «Quand on est arrivé à Cape Town, on a très vite compris que les douze jours suivants allaient être chauds, détaille Mattéo Ponchione. Arriver trois jours avant la course nous a permis de nous acclimater, de découvrir à vélo une partie du parcours du prologue. Ce qui nous a permis aussi de comprendre que la boue des chemins belges allait être remplacée par les cailloux, la terre et la poussière.»

Au Cape Epic, les 1 200 participants démarrent par vague de 200, les images sont impressionnantes et tout au long du parcours, il y a du monde qui applaudit et encourage les vététistes. Cette épreuve est l’un des rendez-vous sportifs les plus importants de l’année en Afrique du Sud. Il suffit de voir le déploiement médiatique avec des cameramen qui accompagnent la course en quad et les hélicoptères qui suivent les meilleurs du début à la fin de la course.

Après six jours de course, nos deux hommes sont partis pour une dernière étape où l’ambiance était déjà plus festive. «Quand on est à 50 km de l’arrivée, on se dit que rien ne peut plus nous arrêter, se remémore Stéphane Maïtrejean. Là, on commence à compter les kilomètres et on se dit qu’on a de plus en plus le sourire au fil des bornes. Et quand la ligne d’arrivée est proche, il y a un monde fou qui applaudit tous les coureurs. C’est impossible de résister à l’émotion. Les caméras sont là et on sait que nos familles sont devant leur PC en train de regarder les images en directe et on leur fait signe pour les remercier de nous avoir épaulés et supportés durant la préparation et la course.»

Inutile de dire que quelques larmes de joie ont été versées sur la ligne d’arrivée.
«La médaille de finisher (NDLR : pour tous ceux qui terminent l’épreuve) nous a été donnée par les vainqueurs de la course eux-mêmes, ce qui montre une fois de plus que les pros et les amateurs peuvent vivre un tel événement ensemble», ajoute Stéphane Maîtrejean.

Et nos deux compères de conclure d’une seule voix : «C’est sûrement une expérience à répéter et si nous avons un conseil à donner à tous les amateurs de VTT, c’est celui-ci : "faites-le si vous en avez l’occasion, c’est la meilleure course du Monde.»

Allez, un dernier coup de pub pour ceux qui n'auraient pas l'Avenir du Luxembourg !!!!